Chaque enfant est une histoire sacrée dont on ne saurait soumettre l’avenir intellectuel et professionnel aux lois d’une planification étatique des besoins – de type soviétique – ou aux lois du marché des entreprises qui dicteraient aux familles et aux élèves, la liste de leurs besoins.
Chaque enfant a besoin, pour s’épanouir, de se reconnaître dans un projet qui lui est propre, de cultiver des goûts, des aptitudes, des rêves aussi… Les choix qu’il fera avec ses parents lui permettront de tracer son propre chemin, choisi et non subi. Il y construira son identité, ses objectifs, son ambition qui ne peut se limiter à un job à la sortie…
Faut-il pour autant faire abstraction des débouchés et des réalités économiques ? Trop de filières techniques inadaptées à la réalité économique ou à contre-courant des besoins du marché de l’emploi ont laissé sur le carreau des hordes de jeunes chômeurs. Et combien de jeunes étudiants, attirés et éblouis par les matières intellectuellement passionnantes (la socio, la psycho, les belles lettres…) s’aperçoivent un peu tard qu’elles ne mènent qu’à une impasse professionnelle ?
Laissons la place au rêve, à l’ambition, aux choix qui font grandir, mais confrontons les aux débouchés, aux réalités de la vie économique pour une orientation choisie, mais efficace.
Chaque enfant a besoin, pour s’épanouir, de se reconnaître dans un projet qui lui est propre, de cultiver des goûts, des aptitudes, des rêves aussi… Les choix qu’il fera avec ses parents lui permettront de tracer son propre chemin, choisi et non subi. Il y construira son identité, ses objectifs, son ambition qui ne peut se limiter à un job à la sortie…
Faut-il pour autant faire abstraction des débouchés et des réalités économiques ? Trop de filières techniques inadaptées à la réalité économique ou à contre-courant des besoins du marché de l’emploi ont laissé sur le carreau des hordes de jeunes chômeurs. Et combien de jeunes étudiants, attirés et éblouis par les matières intellectuellement passionnantes (la socio, la psycho, les belles lettres…) s’aperçoivent un peu tard qu’elles ne mènent qu’à une impasse professionnelle ?
Laissons la place au rêve, à l’ambition, aux choix qui font grandir, mais confrontons les aux débouchés, aux réalités de la vie économique pour une orientation choisie, mais efficace.
Yves George, vice-président de l'Unapel